Étudiants français : wechat alternative in china pour survivre
Rester connecté sans se prendre la tête à Pékin, Shanghai, ou en campus : est‑ce possible ? Lundi matin, dans un couloir d’université à Shanghai, un groupe d’étudiants internationaux discutait en anglais et en français : « On a besoin d’un plan B si WeChat a un bug ou si un prof exige un code QR introuvable ». Ce n’est pas une anecdote isolée — pour beaucoup d’étudiants étrangers (et Français en particulier) WeChat est à la fois la porte d’entrée et le couteau suisse de la vie en Chine : messagerie, paiement, infos de cours, clubs, événements. Mais la réalité technologique et géopolitique a changé la donne. Alors que la concurrence mondiale en tech s’intensifie, la Chine développe ses propres alternatives (DeepSeek pour l’IA, des solutions locales de messagerie), et les autorités rappellent aux étudiants d’être prudents face aux tentatives d’approche douteuses sur le campus [CM Jornal, 2025-11-04]. ...
